Les Séniors 1 et 2 préparent le championnat

  • 4 novembre 2011

Contre Valence d’Agen, il n’y a eu qu’une seule confrontation. Avant cette rencontre, certains doutes étaient portés sur les lignes arrières au regard des joueurs ayant quitté le club. Mais tout c’est vite dissipé, Castanet possède un bon réservoir dans ce domaine. Peut-être moins d’expérience (et encore) mais de jambes en plus tant cette ligne a été rajeunie. Beaucoup de qualité qui est loin de déplaire au staff sportif.

Louis Bardou seul aux commandes

Yannick Larguet fait office d’ancien au milieu de cette jeunesse débordante. Mathieu Céolin reste un élément de confiance, Mankuka doit s’affirmer. Comme De Chasteigner doit s’exiler pour des raisons professionnelles, la porte est largement ouverte aux nouveaux. Nicolas Vaysse (Stade Toulousain), Maxime Fantini (Montferrand), Maxime Castell et Romain Delmas (Mont de Marsan), Paul Falipou (Montauban), Romain Husson (Colomiers) vont apporter tout leur enthousiasme. D’autres comme Grégory De Souza et Florent Cauquil auront leur mot à dire. De 11 au 15, l’Avenir est bien fourni.

Initialement acté avec deux présidents, l’Avenir castanéen n’aura aux commandes que Louis Bardou suite au désistement de Pascal Faitg. « Il ne veut pas du titre mais il reste au club », assure Louis Bardou. Depuis le début ou il a fallu établir un organigramme, Pascal Faitg, président en place avait toujours dit que si toutes les personnes qui devaient s’engager restaient au club, il continuerait sa mission. Juste après l’assemblée générale, certains dirigeants sont revenus sur leur engagement, présentant même leur démission. Devant cet état de fait, Pascal Faitg a tenu sa parole. « J’ai fait ce que j’avais dit du moment où l’organigramme présenté n’était pas tenu, je me retirerai de ma fonction de président. Non, je ne quitte pas le club, je reste à sa disposition pour effectuer toutes les taches qui me seront confiées (relation avec le comité, du secrétariat notamment). » Un dirigeant toujours aussi fidèle mais sans titre.

Source : La Dépêche